Les administrations portuaires canadiennes respectent rigoureusement la durabilité. Certifiées par l’Alliance verte, les APC améliorent constamment leurs performances environnementales relatives à la réduction des émissions de GES, la gestion des déchets et l’atténuation de l’impact sur les collectivités et l’environnement.
100 %
des administrations portuaires canadiennes sont membres de l’Alliance verte
Les administrations portuaires canadiennes assument pleinement leurs responsabilités de gestionnaires de l’environnement. Elles respectent et souvent dépassent les exigences légales et réglementaires. Elles surveillent et ajustent continuellement leurs stratégies écologiques grâce aux systèmes de gestion de l’environnement (SGE) et aux pratiques de développement durable.
Les 17 APC sont membres de l’Alliance verte, un programme de certification environnementale volontaire pour l’industrie maritime nord-américaine. Pour obtenir la certification, les APC remplissent une autoévaluation annuelle et font vérifier leurs résultats par un tiers accrédité. Dans le cadre de l’autoévaluation, les administrations portuaires évaluent leurs performances sur huit indicateurs :
Au-delà de leurs responsabilités directes, certaines APC ont créé des programmes de promotion des navires verts, offrant des incitatifs aux navires commerciaux qui appliquent des mesures de réduction des émissions ou d’autres pratiques écologiques.
Les administrations portuaires canadiennes disposent toutes de stratégies globales d’assainissement et de protection des eaux, de l’air et des terres environnantes.
Les administrations portuaires canadiennes reconnaissent la valeur précieuse des eaux et des environnements marins où opère le secteur du transport maritime. Maintenir la qualité de l’eau est l’un des moyens pour les ports d’aider à améliorer la santé des écosystèmes.
Les voies maritimes sont contrôlées pour évaluer l’impact des bruits sous-marins et de l’activité des navires commerciaux sur les mammifères marins afin d’élaborer et d’appliquer des mesures appropriées, notamment pour les espèces en danger.
Les APC s’efforcent également de protéger l’habitat faunique en élaborant des mesures d’atténuation pour minimiser l’impact de leurs activités. Au fil des ans, plusieurs APC ont installé des nichoirs pour protéger des sites de reproduction d’oiseaux. D’autres ont requalifié les habitats naturels en réserves fauniques, et les projets de réhabilitation de l’habitat marin sont devenus la norme.
Les APC s’efforcent d’améliorer la qualité de l’air en réduisant les contaminants et les volumes de particules.
À terre, les APC remédient les sols contaminés. En collaboration avec les intervenants, elles créent notamment des programmes de phyto-restauration et de plantation d’arbres.
Les ports veillent également à atténuer la pollution sonore causée par la manutention des navires et des marchandises.
Pour que ces mesures soient efficaces, les ports observent une culture d’amélioration permanente et de conservation de l’énergie, collaborant avec tous les ordres de gouvernement et les intervenants sectoriels pour évaluer les performances et les progrès.
Le transport par voie maritime émet le moins de GES par tonne-kilomètre
De nombreuses APC mènent activement des projets de conservation de l’énergie et des ressources.
Les APC ont instauré des programmes précis – dans certains cas, des incitatifs – pour réduire les émissions de gaz à effet de serre. Chaque port a élaboré une stratégie adaptée aux besoins de ses activités, de ses locataires et de sa collectivité. Exemples :
Grâce à ces actions, parmi d’autres, le transport maritime reste le mode de transport le moins polluant par tonne-kilomètre.